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 [RP SOLO] Ray, le Cavalier

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Fatality-Xelo

Fatality-Xelo


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MessageSujet: [RP SOLO] Ray, le Cavalier   [RP SOLO] Ray, le Cavalier Icon_minitime29/09/10, 04:49 pm

Voici donc la longue histoire de Ray divisée en pas mal de chapitres... de sa création, à son bannissement, en passant par la "Guerre apocalyptique" dont il est auteur.

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Prologue

L'antre était sombre, de la brume était encore présente. L'architecture actuelle était inquiétante, des crânes et autres emblèmes mortels étaient dessinés. On semblait percevoir une forme au loin, mais elle semblait immatérielle : elle se déplacait ici et là, flottante au dessus des roches bleutées et sombres de la zone. La brume se dissipait peu à peu, laissant apparaître un socle, sur laquelle était plantée une épée, lourde, imposante, impressionnante. La sombre clarté de la pièce rendait les choses d'autant plus inquiétante.

Soudain, de la lumière : la porte s'ouvrit dans un fracas assourdissant, laissant échapper une lueur jaune, quand une ombre se dessina au seuil de celle-ci : grande, imposante, mais indescriptible. Il marchait lentement vers le centre de la salle, puis il empoigna la manche de l'épée et il retira celle-ci du socle. Un son indescriptible se fit alors entendre, plus fort encore qu'un grincement. L'être inconnu retira la lame, qui dégagea de nombreuses étincelles bleues, avant de finir dans la main droite de celui-ci, son imposante main droite.
Le calme régnait, et pourtant, ce grincement horrible était toujours percevable. Les cheveux blancs de l'être sombre étaient percevables, puis il les replaça sous sa coiffe rougeâtre, sur laquelle était d'ailleurs dessinée une couronne dorée, et il avança vers la lourde porte de pierre. Il fendit l'air avec la lourde lame, rapide malgré son impression de lourdeur, sur laquelle des crânes étaient sculptées à même l'acier, comme pour l'essayer.

La lourde lame frôla ensuite longuement le sol, la brume se levait peu à peu. L'être mystérieux sortit ensuite à même le jour : on pouvait se rendre compte de ses deux mètres, de son imposante musculature, de sa capuche rouge-sang, de sa tenue rougeâtre et dorée. Des bottes en pierre bleue, comme dans l'antre mystérieux. Sa voix était grave, lourde, imposante. Le soleil doré illuminait les cheveux argentés du colosse. Ses yeux gris regardaient l'horizon, où se dessinaient des nuages énormes.
Il était visiblement au Pic de la Montagne des Craqueleurs. Il faisait bon, ni trop chaud, ni trop frais. L'être ne semblait pas souffrir de l'altitude, loin de là, sa respiration était régulière et presque silencieuse. Il esquissa un sourire, puis il se retourna dans l'antre, et il ferma la porte, faisant ainsi trembler les nids de Kwak dans les environs.


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Acte Premier - Chapitre 1

Amakna. Les terres infinies d'Amakna. Les trois soleils de ce monde brillaient de milles lueurs, les champs de blé se doraient à vue d'oeil. Le léger vent qui faisait frissonner le plus robuste des chevaliers. Ce vent frais qui parcoure les plaines à la recherche d'une victime à glacer le sang.

Le calme, rien que le calme. On entendait parfois des pious ou des tofus, mais le calme régnait sur les champs. Les nuages, dorés aux soleils, étaient peu présents, et de petite taille, laissant bien visible le ciel bleu de cette magnifique journée. La végétation environnante était effectivement présente, on pouvait même apercevoir des champs de citwouille à l'autre bout de la prairie.
La prairie, vide d'ailleurs. Vide de toute vie, ceux-ci se perdant au milieu des cérales, poussant à foison, miraculeusement, étrangement. Les champs de blés ne se terminent jamais, l'avoine, quant-à-lui, est difficilement repérable de part sa couleur éternellement doré. L'orge et le seigle, eux, étaient facilement repérable : le vert qu'ils dégagent attirent tout bonnement tout paysan qui se respecte.

Un d'entre eux, d'ailleurs, nous intéresse, de part ce qui est anciennement arrivé, ou ce qui va se passer... un Sacrieur, avec une faux très haute, lourde, longue, et aiguisée. D'un coup vif, il découpait une vingtaine d'épis, qu'il ramassait par la suite et entreposait dans d'énormes sacs. Il fauchait, jour et nuit, avec son Bob, son petit sac, ses bottes à moitié trouées.
Il ne faisait que faucher, profitant du beau temps, ne dégageant aucun sentiment autre que la recherche de céréales. Le jour, il fauchait, le soir, il re-plantait les épis et changeait de secteur de récolte, et ça recommençait, ne s'arrêtant pour ainsi dire que durant les journées de pluie, chose rare, car grâce aux trois soleils de ce monde, la pluie était guère présente.

Les champs, eux, ne finissaient jamais. On ne voyait pour ainsi dire jamais le bout, c'était quasiment incroyable. Les lueurs du soleil non plus n'en finissaient pas, à la fin et épais. Les jours passent, mais le paysan ne semblait jamais vendre tous ces sacs, qu'il entreposait la nuit tombée dans un amassis de granges non loin : on pouvait compter pas moins de deux milliers de sac entreposés dans l'immense complexe en bois, où la poussière régnait en majeure partie. Immense, c'est vrai, mais pas assez : une bonne centaine de sacs étaient visiblement en trop, et dépassaient de l'entrée du "complexe de bois".


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Chapitre 2

Lundi. C'était ce jour où la vie reprenait son cours, difficilement, longuement, parfois, péniblement. Mystérieusement, les champs n'étaient aujourd'hui pas importunés par ce paysan : il se contentait de charger son immense charrette de ses sacs de céréales. Le seul problème, était que ces sacs ne pouvaient être chargés que par trentaine, et encore, il fallait pouvoir trouver la place pour les derniers sacs. Il déposa par la suite sa faux au fond de la grange principale.

Il les chargeait, les poussait dans un coin, et réitérait l'opération. Ainsi, lorsque la charrette fut pleine à craquer, le Sacrieur monta dessus.


Le Sacrieur - Allons-y ! Yihaa !

Les dragodindes partirent au galop, tirant, entraînant la charrette sur la route de pierre, dégageant une impression de rapidité, de puissance, et aussi de la poussière. Les tournesols se retournaient sur le passage de cet engin, et ils n'étaient pas les seuls : la faune actuelle était également dérangée par le bruit que dégageait cette charrette durant son déplacement, un bruit assourdissant.
Finalement, la course folle du Sacrieur s'arrêta au Village d'Amakna. Les soleils brillaient toujours autant, mais les pious étaient d'autant plus présent que les tofus, voire un peu plus. Le Sacrieur descendit de sa charrette, paya un garde et avança jusqu'à un homme assit non-loin de là : il portait un chapeau sinistre avec des dents de crocodaille, donnant l'impression de "mise en garde". L'homme mystérieux se leva, puis il pointa le doigt vers la charrette, et il ouvrit la bouche.


L'homme mystérieux - C'est ça, la cargaison, jeune homme ?
Le Sacrieur - Oui monsieur. Cependant, j'aurai besoin de plus de matériel pour embarquer le reste : ceci n'étant rien comparé à ce que j'ai pu faire ce mois-ci.
L'homme mystérieux - Tu attires mon attention, jeune homme. Très bien. Voici donc tes kamas, quant à la cargaison, je vais envoyer mes hommes s'en charger : je connais la position de "l'entrepôt" de tes parents, ce n'est donc pas un problème.
Le Sacrieur - Merci infiniment monsieur !
L'homme mystérieux - Allons bon, ressaisis-toi, je ne vais en aucun cas te dévorer : tu as fait là un travail exemplaire, grâce à cette immense quantité de céréales, je vais pouvoir relancer mon affaire. Je t'ai donc acheté l'entrepôt et son contenu.
Le Sacrieur - Merci !
L'homme mystérieux - Avec cette somme de kamas, tu pourras vivre jusqu'à la fin de tes jours, à condition de choisir une petite maison dans un coin paisible, cela va de soi. Bonne journée Roucar !

Roucar, plaçant les kamas dans sa bourse, fit quelques pas en avant, puis il alla chez l'agent immobilier du coin... lui ayant conseillé une maison près de la Montagne des Craqueleurs.

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Chapitre 3

Roucar arriva au pied de la Montagne des Craqueleurs. Les nuages étaient épais, d'une blancheur sans égale, et la fraîcheur du coin était quasiment paradisiaque. Des kwaks pouvaient parfois se faire entendre, mais rien d'insupportable. Le coin était vide, personne n'osait s'y aventurer. Les Craqueleurs, quant-à-eux, ne gênaient personne, bien au contraire. Ils avaient étrangement tendance à se réunir près des parfois rocailleuses, et n'agressaient pas les passants.

Roucar trouva après une longue recherche sa demeure, loin de tous regards indiscrets, un peu plus haut dans la montagne. Une petite maison, dont la paille servait de toiture, entassée entre deux rochers, n'étant pas moins sympathique : elle donnait au contraire envie d'y entrer plus que tout au monde.
A l'intérieur, rien de bien frustrant : à part quelques trous dans la toiture, chose en effet envisageable, il est fort plaisant de s'y trouver. La lueur du soleil traversant la paille donnait un bel effet, et la maison, faite de pierres trouvées dans la montagne, étaient étrangement bleues et sombres, donnant un coté "inquiétant" aux parois murales : cependant, Roucar n'y prêtait jamais attention.
Il préférait se référer aux écrits placés dans la bibliothèque de la maison : chose inquiétante, elle n’apparaissait nulle part dans les documents que lui a présenté son agent. La poussière et les toiles se trouvant sur le livre montraient pourtant qu'ils étaient au moins aussi vieux que la maison, voire plus quand on voit l'état de certains d'entre eux.

Roucar, intrigué par cette découverte, ouvrit le premier livre qui lui était passé sous sa main. L'écriture sur la première page ne lui était pas inconnu, mais il restait tout du moins étrange : "L'Ange de la Mort". Curieux d'en connaître plus, il ouvrit le bouquin, et après en avoir lu quelques pages, il resta figé sur une découverte qui était fort étrange... "L'Ange de la Mort habiterait au sommet de la Montagne des Craqueleurs, là où personne n' a jamais osé s'y aventurer. On raconte que les rares êtres qui y sont allés n'ont jamais été revus, et ne seront jamais retrouvés."
Tremblant comme une feuille, Roucar sortit de sa maison, afin de respirer l'air pur des lieux. Puis il jeta un coup d'oeil à la montagne : pas moins de 1000 mètres semblaient séparer le Pic de la montagne au sol de celui-ci, se situant une bonne centaine de mètres plus bas. La curiosité de Roucar prenant le dessus, il mit ses vieux gants de paysan, son Bob, et des bottes en cuir, puis il mit sa main sur un rocher qui se détachait de la roche : ainsi commençait l'ascension du Mont des Craqueleurs.


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Chapitre 4

Les vents semblaient de plus en plus glacials, mais le Sacrieur n'abandonnait pas : il ne lâchait pas prise, s'aggripant à tout ce qui passait sous sa main, pierre comme branche. Les Kwaks ne lui posaient aucun problème : il faisait très attention aux nids, de peur à ce que les volatiles élémentaires le fassent tomber et mourir dans d'atroces souffrances, chose auquel il n'est visiblement pas fan.
Il était assez haut, l'impression de difficulté respiratoire se fit ressentir à de maintes reprises, empêchant Roucar d'inspirer correctement l'oxygène des lieux. Il montait de plus en plus doucement, les prises se faisant plus rares, les branches étant quasi-inexistantes. Mais ce qui était sûr, c'est qu'il gagnait en altitude : il refusait catégoriquement de regarder en bas, craignant une chute et une mort douloureuse.

Le Sacrieur finit par trouver une lourde porte de pierre, sur laquelle était dessinée une tête de mort. Prit d'un angoisse parcourant son corps, il finit néanmoins par s'approcher et à examiner la porte. Passant sa main sur celle-ci, cherchant une éventuelle serrure, rien n'y faisait, elle semblait infranchissable... du moins, jusqu'à ce qu'il découvrit une barre en fer accrochée fermement à la roche, de manière à l'empêcher de se décoller.
D'un coup, un flash parcourait l'esprit de Roucar, et il empoigna la poignée, qu'il tenta de tirer vers le haut de toutes ses forces. Les pierres bougeaient dans un bruit très désagréable, tel un mécanisme se mettant en marche : le Sacrieur était en train de se démettre le bras, mais il n'arrêtait pas de tirer, curieux de voir ce qu'il y avait de l'autre coté, déterminé à l'ouvrir. Roucar finit par dégager sa colère sur la porte, dégageant une aura blanche, et il tira de toutes ses forces sur la poignée : on pouvait entendre les ligaments de son bras se démettre, peu à peu. Un bruit sourd soudain, la porte se détacha du sol, et fut soudain plus légère. Le mécanisme était fait de telle façon à ce que la porte puisse entrer dans une paroi qu'il fallait d'abord dégager.

Roucar souleva ainsi la porte, et celle-ci disparut dans la paroi dans un bruit tout bonnement horrible, dévoilant une caverne tout aussi inquiétante. La lumière du soleil dévoilait la pièce, objet par objet, dissipant la brume. Le Sacrieur s'avança jusqu'à ce qu'il aperçut un colosse au coin de la salle, debout, scrutant les crânes qui sont là pour "décorer". Les torches dissimulés sur les murs servaient visiblement de source de lumière, mais étrangement, la lueur dégagé par ceux-ci est du bleu, et non du rouge, comme les flammes habituelles.
L'inconnu tourna alors la tête, puis de ses yeux argentés, il fixa l'individu venant de saccager la porte de son antre. Roucar s'avança doucement, restant en garde, tremblant, mais le chevalier nocturne ne cessait de le fixait. On dirait qu'il l'identifiait presque. Soudain, celui-ci tourna la tête, et ouvrit la bouche.


Inconnu - En cinq cent ans, personne n'était parvenu à ouvrir cette porte de pierre. Bienvenue, Cavalier.
Roucar - Vous parlez de moi ?

Le colosse s'approcha, faisant trembler le sol à chaque pas. Puis il pointa l'épée au milieu de la salle, tout en ne quittant pas des yeux l'ancien paysan.

Inconnu - Ta force vient de se réveiller. Je peux sentir l'aura que tu dégages depuis ici.
Roucar - Vous plaisantez ?
Inconnu - Tu n'es ni partisan de la paix, ni partisan du mal. Tu es un sujet adéquat.
Roucar - Ça vous ferait mal de parler en français ?

L'être s'approcha de l'épée. La brume revint dans la pièce, la porte se ferma brusquement, et une impression de fraîcheur envahit la salle.

Inconnu - C'est simple. Si tu parviens à retirer cette épée, tu deviendras comme moi : un Cavalier de l'Apocalypse.
Roucar - C'est quoi ça encore ?
Inconnu - Un être d'une puissance hors-du-commun, qui ne travaille sans loi et sans pitié. Il respecte les ordres de l'Ange de la Mort à la lettre en échange de son aura destructrice.
Roucar - Et si j'échoue ?
Cavalier de l'Apocalypse - Tu mourras.
Roucar - Je vois que j'ai le choix, très bien, j'vais retirer l'épée.

Roucar s'approcha de l'épée, essayant de la retirer, tirant de toutes des forces. Mais en vain, celle-ci ne bougeait pas. Roucar serra les dents, ré-essaya, mais rien n'y faisait : il ne pouvait pas la faire bouger. Le Cavalier, perdant patience, le condamna alors.

Cavalier de l'Apocalypse - Je me suis trompé sur toi... tu n'es rien d'autre qu'un pathétique disciple de Sacrieur, va-t-en !

Le Cavalier tira un rayon noir qui frappa le Sacrieur, et une explosion pouvait alors se faire entendre à des kilomètres à la ronde... puis, la fumée se dissipa, laissant apparaître un second Cavalier, identique au premier. Le premier ne put s'empêcher de rire.

Cavalier de l'Apocalypse : Ah ah ah ! Comme c'est pathétique, un être aussi faible que toi, digne de notre rang ? Très bien, dorénavant, tu t'appelleras Ray : garder ton nom te fera porter trop de soupçons...
Roucar - Que s'est-il passé ?

L'Ange de la Mort prit sa forme initiale, dévoilant une impressionante faux dans sa main gauche, et des ailes sombres. Sa capuche et son manteau noir masquait le reste de son corps.

Ange de la Mort - Tu es devenu l'égal d'un Semi-Dieu... mais sous certaines conditions : tu vivras éternellement dans le seul but de m'obéir, et dans le but de faire régner l'ordre.
Ray - L'ordre ?
Ange de la Mort - Le monde actuel est déchiré par la guerre, et l'équilibre du monde actuel se brise peu à peu. Nous devons mettre un terme à la guerre.
Ray - Je peux m'en charger...
Ange de la Mort - Tu ne sais même pas manier ton épée. J'ai mieux pour toi : va me chercher une pierre de Zaers dans les Landes de Sidimote. Tu peux utiliser le socle de ton épée comme d'un portail de téléportation instantané, comme un Zaap.
Ray - Et, si je refuse ?
Ange de la Mort - Dans ce cas, je te tuerai. Tu es maintenant sous mon service, tu devras apprendre à agir comme un Cavalier.
Ray - Y en a-t-il d'autres ?
Ange de la Mort - Non.

L'ange de la Mort disparut alors dans la fumée noire de l'Antre, laissant Ray seul. Puis il franchit la porte, curieux de voir quels pouvoirs a-t-il apprit.

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Fin de l'Acte Premier - Chapitre 5

Ray arriva au centre de la salle, il souffla un bon coup, puis il dégaina son épée. Il la fit vire-volter dans ses mains, puis il planta la lame dans le socle au centre de la salle, et de la lumière s'en dégagea. Une lumière bleue et noire à la fois, la brume était aspirée par ce vortex tourbillonnant, et semblait flotter entre deux dimensions, flotter dans l'éternel bleu du vide spatial.
Ray apparut alors au Zaap des Landes de Sidimote. L’atterrissage fut rude : en faite, Ray n'arrivait plus à tenir sur ses énormes jambes musclées. Lorsqu'il put se lever, il jeta un coup d'oeil autour de lui. Rien, ce n'était qu'une étendue magmatique déserte. Le Cavalier ne savait pas où chercher, ni comment il allait trouver la pierre, mais il devait la trouver.

Il entama les recherches, mais à part des Crocs Glands, il n'y avait rien à des kilomètres à la ronde, donc Ray décida d'aller dasn les grottes environnantes afin d'y trouver la pierre, et il finit par trouver celle-ci, sur une sorte de piédestal, dans une caverne non-loin de celle des fungus : bien évidemment, des fungus s'y trouvaient, servant de comité d'accueil au Cavalier, qui dégaina son arme et se mit en garde.


Ray - Ceci va être très intéressant !

Le Cavalier bondit sur ses adversaires, et lança un coup horizontal qui en décapita plus d'un. Puis il recula et failli se faire dévorer par un de ses adversaires.

Ray - Cette épée est fatigante, elle est trop lourde.

Ray s'agenouilla, puis son gantelet argenté s'éclaira. Il rouvrit les yeux, poussa un ricanement, et pointa ses adversaires du doigt. Il chargea ensuite ceux-ci, et frappait ses adversaires à l'aide de la lame, il vire-voltait, il bondissait, il chargeait, il charcutait, il tuait. Ses ennemis tombaient un à un, la soif de tuerie de Ray ne semblait en aucun cas être comblée... il esquissait un sourire. Il avait trouvé son rythme.

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Il s'agit ici de l'histoire de Ray, le premier Cavalier du RP communautaire sur le forum officiel. Ray est ici bien plus jeune que dans le RP communautaire, par conséquent, son expérience et son caractère sont totalement différents du "nouveau Ray".


Dernière édition par Fatality-Xelo le 30/09/10, 06:44 pm, édité 9 fois (Raison : Correction des fautes.)
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MessageSujet: Re: [RP SOLO] Ray, le Cavalier   [RP SOLO] Ray, le Cavalier Icon_minitime30/09/10, 05:54 pm

Je sais pas pour vous, mais j'aime pas trop la fin du chapitre 4 =s Et vous ?
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[RP SOLO] Ray, le Cavalier
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