L'Histoire de Kiilk

Pseudo : Kiilk
Cercle : 194
Prénom : Kiilk
Nom de Famille : Riikla de Loe

Background :


Chapitre I, La Jeunesse

Des flots de sangs gisaient sur le paillasson d’entré ; seul les disciples de ce Dieu ne manifestaient aucun geste de panique à la vue de ce spectacle … Pendant longtemps peut d’aventurier osait approcher cette communauté qui est restée pendant de longues années fermée. C'était la communauté des Sacrieurs réputée par la suite pour leur goût du sang. Selon eux un entrainement dès la jeunesse était essentiel pour que les jeunots puissent apprendre à encaisser sous les différents Châtiments les coups de leur adversaires , les pauvres envoyés en première ligne ; c’est ainsi qu'ils étaient tous formé.
Kiilk était une jeune sacrieuse née d'une famille qui avait récemment emménagée dans la zone. Une famille aisée; enfant unique de Sacrieurs, tout deux adorateur de la maitrise de la chance et du Châtiment Osé. Kiilk fut donc orientée dans la maitrise du Châtiment Osé malgré elle…
-« Elle maniera la chance comme nous l’avons toujours fais Kaali ! Elle doit perpétuer notre adoration ; c’est dans la logique des choses ! ». Ce souvint-elle un jour de dispute entre son père et sa mère.
Kiilk s’entraina dans sa jeunesse à la maitrise de ce Châtiments et des attaques dans l'élément Chance. Cependant tout Sacrieur se doit de manier au moins deux éléments avec une spécialité; ce uniquement dans l’aristocratie. Elle fut autorisé à choisir son deuxième élément, « l’agilité »mais fut obligé de maitrisé les marteaux ; son père estimant qu’il était plus utile de frapper plusieurs créatures plutôt qu'une.
Elle était donc une enfant contrainte à adhérer aux choix de son père qui avait une idée très stricte et précise de ce qu'était et était « bon » pour un Sacrieur et dénigrait toute autre orientation . Kiilk crut faire un choix délibéré mais en réalité elle fut orienter indirectement dans la spécialisation "agilité" par son père.
A leur dixième année, les jeunes disciples étaient autorisés à aller combattre des créature rodant à proximité du Temple ; des Kwaks, Craqueleurs , Craqueboules , Larves , Moskitos … bien souvent ils ne pouvaient battre ces créatures; mis à part les Larves et les Moskitos, seules de rares apprentis « doués » arrivaient à triompher des « grosses créatures ». Kiilk elle n’en faisait pas partit de ceux là.
Son père fut extrêmement déçu le jour ou on vînt lui dire que sa fille n’avait aucun talent, qu’elle serait une sacrieuse « banale » .A leur dix-huit ans comme tout disciple des douze, la jeune sacrieuse décida de partir à l’aventure, mais pas seulement pour découvrir … pour fuir les siens, sa maison, sa famille, et surtout son père.
Ainsi elle partit sans rien dire un matin de 25 Noviembre avec rien mis à part le stricte minimum, c'est à dire quelques vêtements, quelques Kamas, un sac à dos "kit", et une tente.
Longtemps elle attendit ce moment, enfin elle pouvait partir, fuir, faire ce qu’elle voulait sans à avoir à se soucier de ce que dirait son père, sans avoir à être jugé sans cesse. Un sentiment de liberté entrait en elle, de soif d’aventure, de découverte, de combat et surtout de rencontre.

Chapitre II, Les découvertes et la connaissance

La jeune sacrieuse pris donc la direction de la ville en contre bas de la Montagne des Craqueleurs la plus proche; la célèbre Amakna ! Terre de transite vers toutes sortes de destinations. La nuit commençait à tombée et Kiilk décida d’établir son campement, pas sous un arbre car on lui avait appris à se méfier de l’orage, mais dans une clairière dégagée.
Une fois le campement établit; ce qui ne fut pas de tout repos, elle sortit quelques livres et une carte de son sac à dos pour se renseigner sur ce monde qu’elle allait découvrir. Elle alluma ensuite un feu pour pouvoir se réchauffer et surtout d'avoir un temps soit peu de lumière; celle de la Lune ne suffisant pas.
C’est ainsi qu’elle apprit que au delà des mers et des océans (qu’elle n’avait jamais vue), il existait des îles et certaines même plus grandes que le continent … en quelque sorte, d’autres continents !
Un sentiment la submergea à ce moment là; le sentiment qu’elle était seule, dans un monde dont-elle ne connaissait même pas les limites, ou tant de chose lui était inconnu, le danger pouvait surgir de partout …
Elle découvrit à l’Est l’existence de deux îles, L’île des Wabbit habitée par des rongeurs pouvant parler en «woulant les w » et ayant un « Woi ».La deuxième île était beaucoup plus sauvage; L’île de Moon en forme de Lune abritant un Singe pourtant le nom de l’île.
Cette île était constituée d’une jungle ainsi que de plages et criques. « Elle est surement prisé des touristes » pensa Kiilk, malheureusement à tord. Une île à l’opposé de celle des Wabbit, cette dernière rocheuse et pleine de galeries creusés par ces Lapins hyperactifs.
Au Nord-est elle découvrit l’île de Pandala qui ne l’intéressa guère d’avantage, mis à part qu’elle était relié à Astrub par un pont qui mériterait un détour.
Kiilk décida de s’arrêter là pour ce soir et allât se couché la tête pleines de rêves.

Le réveille fut difficile, un rapide bain dans un ruisseau avoisinant qui eu le mérite de la réveiller pour de bon ! Le confort de sa maison, c’était terminé ! Et elle le savait . L’eau chaude, le bon lit douillet et surtout une maison chauffer car l’hiver approchait et serait difficile pour elle. La nuit avait été froide mais Kiilk n’avait aucun remord à être parti. Elle plia donc le camp et poursuivit sa route vers Amakna.

Au bout de quelques heures de marches elle aperçut enfin, alors qu'elle était sur le sommet d'une colline déboisée d’une colline, la ville qui s’étendait sous ses pieds, « magnifique » se dit-elle. Mais un problème allait se posé, un problème dont-elle n’avait pas encore pris conscience ; ou allait t-elle loger ?

Chapitre III, La Rencontre

Le soleil commençait à baisser, quand je me rendis compte que j’avais perdu un temps précieux à visiter les alentours d’Amakna. Il me fallait trouver une chaumière ou loger, les créatures devaient sans doute venir rodés dans le coin la nuit, pour chercher de la nourriture laissée par les aventuriers. Au fur et à mesure que le ciel devenait de plus en plus orangé, la peur montait en moi. Je courrais, je cherchais mais je ne trouvais pas d’auberge ou loger.

Il était maintenant vingt heures et les quelques bougies allumées aux poteaux protégés par de petites vitres de verre illuminaient comme elles pouvaient la chaussée. Je n’avais toujours pas trouvé de chaumière … Campé en ville devenait ma dernière option quand soudain, une Enutrofe surgit de nulle part. Je décidai d’aller lui parler car elle semblait être du coin. «Aucune personne âgée de cet âge oserai sortir à cette heure si elle ne connaissait pas le coin ?! ». Elle était plus petite que la plus part des Enutrofs et devait sans doute avoir un âge bien avancé … Elle m’intriguait mais lui parler était ma dernière chance si je ne voulais pas camper en ville. «Après tout une vieille personne sa ne peut pas faire de mal ! ».

Le dialogue fut très vite établit et « Mademoiselle Favorius », elle voulait que je l’appel comme sa, de fil en aiguille m’invita à loger chez elle pour la nuit. Je fus surpris qu’elle ne me demande aucun Kamas. Sa maisonnette n’était pas très éloignée du lieu ou nous nous étions rencontré. « Sans doute qu’elle faisait sa promenade du soir ».Elle ouvra la porte et m’invita à la suivre. Je fus surpris par l’intérieur de la maison ; il y avait des lustres en or, d’étrange reste d’animaux dans des bocaux, des armes accrochés aux murs… Quand je me retournai, je fus surpris une seconde fois par le nombre de verrou qu’elle avait mis ; pas seulement sur la porte, mais sur toute les ouvertures vers l’extérieur de la maison. Cette maison était un vrai coffre-fort. « Six verrous sur chaque ouvertures ?! ». La petite m’amena des chaussons, pour évité d’abimer ses tapis en soie, et les peaux d’étranges créatures que je n’avais même pas remarqué et qui reposait maintenant sur son sol.

La journée avait été dure, longue et chargé. Mademoiselle Favorius m’avait dirigé dans la chambre d’invité après avoir allumé la cheminée ce qui réchauffa considérablement la demeure. Je la remerciai une dernière fois avant de me dirigé dans le lit. Il était si moelleux et confortable. Cela faisait maintenant deux jours que j’avais quitté ma maison, j’avais déjà vécu tellement de chose…

Je fus réveillé au milieu de la matinée par les vendeurs à la crié qui parcouraient déjà la ville. La petite Enutrofe devait déjà être debout depuis un moment. « Elle a surement pas voulu me réveiller ! ». Je sortis de mon lit et je la rejoignis pour la remercié du toit qu’elle m’avait offert pour la nuit. A ma grande surprise, elle me proposa de resté encore un peu avec elle, pour m’instruire, me faire visité la ville. C’est ainsi que grâce à elle, je découvris le Zaap, une sorte de passage temporel relié entre eux moyennent une petite somme de Kama selon la distance entre les deux points. Elle me montra aussi les deux places marchandes de la ville ou l’intensité des cries des aventuriers était encore plus forte que ce matin. Je découvris la taverne, l’auberge de la ville (je me rendis compte que j’étais passé devant) et enfin la Milice qui se trouvait dans le magnifique Château du Roi Allister. J’ai eu du mal à la suivre malgré son âge, ma foi, elle ne semblait pas se fatiguer.

La journée se termina et c’est naturellement qu’elle m’invita à dormir chez elle une nouvelle fois. Je refusai tout d’abord, étant donné qu’elle m’avait montrée l’auberge mais je fus contrains d’accepter par la suite. Toute la soirée, elle me raconta ses aventures, divers histoires sur des combats, des lieux, des personnages, des légendes… Rien de ce qu’elle me raconta ce soir la ne m’ennuyai. Il était minuit passé quand elle s’arrêta, cette journée était passé si vite en sa compagnie. Je m’étais fais une nouvelle amie, celle que j’appellerais désormais Favette. Je me rendis dans ma chambre et elle fit de même.

Chapitre IV : Le Voyage vers Frigost

Je partis le matin, les adieux entre Favette et moi furent difficile ; c’était la première amie que je m’étais faite depuis que j’étais partis et déjà je devais lui dire au revoir. La veille elle m’avait conseillé de me rendre à Frigost, une terre encore très peu connu du Monde des Douze ou un Clan se développerais dans le silence le plus totale. Un clan dont elle avait elle-même fait partis jadis. Elle me raconta comment était ces Terres mystérieuses dont elle avait foulée le sol ; le sol y était blanc, dur et à la fois mou, une zone ou le climat égalait celui de Descendre et ce durant toute l’année. Autant dire que cette description de cette Terre ne me donnais guère l’envi d’y aller mais, je lui faisais confiance.

Favette m’avait conseillé d’acheter des vêtements amples et chauds à cause du climat. Arrivé sur le port, je me rendis dans une boutique spécialisé dans la préparation pour se rendre à Frigost ; j’y achetai un ticket, et quelques vêtements comme me l’avait conseillé mon amie. Le magasinier me souhaita bonne chance ; encore une parole qui me rassurais guère. Le trajet allait être long, j’observais la route qui allait être prise par le capitaine du « Fevia De Kool » une des nouvelles compagnies a proposé le voyage grâce à une carte que j’avais du spécialement acheter pour l’occasion. Sur mon ancienne carte Frigost n’y figurait pas. Le trajet devait prendre entre un ou deux jours selon la météo et les conditions climatiques. Descendre approchant, sa ne devait pas arranger les choses.

Il était maintenant l’heure d’embarquer, nous étions à peu prêt une dizaine dans le navire, le reste était des marchandises et en grande partie de l’alcool. Un individu encapuchonné attira mon attention, il était de petite taille et sa capuche dissimulait totalement ses membres et sa tête. On pouvait juste voir un sigle accroché à son manteau ample et sombre. Il était étrange … Le bateau m’avait inquiété quand je l’avais vu ; il était équipé de deux grandes plaques métallique en forme de « V » sur son avant et je me demandais, comment aurait t-il pu flotter avec se genre d’équipement mais surtout à quoi pouvait elle servir ?

Alors que nous nous éloignons d’Amakna, je pu distinguer clairement à l’horizon les champs d’Amakna, le Château du Roi Allister, la ville Amakna … au loin, je pouvais distinguer des montagnes qui sans doute, devaient être les miennes. L’océan était magnifique, je ne semblais pas être touché par le mal de mer, ou du moins je ne savais pas ce que c’était vraiment pour le moment.

Cela faisait maintenant vingt-huit heures que nous étions à bord et l’air c’était considérablement refroidie depuis que nous nous étions rapprochés de notre destination. J’étais sorti prendre l’air car l’odeur de poisson mort et pourris m’était insupportable quand soudain une énorme secousse me projeta sur le sol ou je m’écrasai. Je me cognai la tête sur le planché froid et rigide du bateau. Je me relevai précipitamment et j’entendis le capitaine hurlé. « Nous pénétrons la banquise de Frigost !!!Accrochez-vous tous à quelque chose, sa va secouer ! ». Je savais à quoi servais ces grandes plaques métalliques ; elles brisaient la glace et sans elles nous n’aurions jamais pu accéder au port de Frigost. La fin du voyage fut tumultueuse et difficile. Je distinguais maintenant clairement la forteresse gigantesque qui protégeais la ville et l’étendu blanche. Au loin je pouvais apercevoir des lacs gelées, et derrière ces lacs, une immense chaine montagneuse.

Quand je descendu du navire, je glissai une seconde fois. Cette fois-ci c'était à cause du « verglas », de la glace extrêmement glissante. Encore une fois je me heurtai la tête et je me retrouvai face contre terre … ou plus tôt contre glace. Des créatures semblable à des Bouftous mais moins commode ne cessait de ce cogné la tête sur les mures de la forteresse, comme si, elles pourraient y faire un trou. « Elles doivent avoir la tête dure…ou une boite crânienne aussi pleine que celle d’un Iop » dis-je à haute voix. Nous fume accueilli par un jeune Feca qui nous fit visiter Frigost. Je frissonnais mais marché semblait me réchauffer un peu. Une fois la visite terminé, je me précipitai vers la Taverne pour me réchauffer au tour d’un ver de lait chaud. Une fois le contenu du ver avalé je me rendis à l’auberge. Amakna me manquait terriblement. La chaleur et le ciel bleu avait été remplacés par le froid et un ciel gris. L’océan était gelé et sans brise-glace, fuir de cette ile semblait être d’une pure folie. Arrivé dans ma chambre j’allumai le chauffage et je me reposai quelques heures sur mon lit.
Quand je me réveillé, c’était le matin. Se fut difficile de me décidé à aller prendre une douche, mais après le voyage j’étais sale et je sentais une drôle d’odeur. Quand je descendis, je demandai des informations à celui qui m’avait vendu ma chambre.
-« Avez-vous déjà entendu parler du Clan de Lahaano ? »Dis-je.
-« Oui, c’est un Clan qui veille sur Frigost. Personne ne sait depuis quand ils sont arrivé sur l’île. Mais ils nous protègent contre les créatures. »
-« Ah ? Et ou pourrai-je les trouver ? »
-« Blood-Lust ! C’est un jeune Sacrieur, il dirige le Clan. Ces un rat de bibliothèque ; c’est sur que tu le trouveras la bas. »
-« Merci bien mon ami, je mis rend de ce pas. »
Je m’habillai pour sortir et je me rendis directement à la bibliothèque. Il était là, assis sur une chaise entrain de lire un livre ancien. Il semblait absorbé par sa lecture. L’étrange sigle que j’avais vu sur l’individu encapuchonné était aussi sur son manteau noir. Ils étaient quasiment identique, mis a part que celui du sacrieur ne portais pas le même slogan. Quand je refermai la porte il ne bougea pas d’un sil. « Est-il conscient que je suis là ? » Je pris un livre et fis semblant de lire tout en continuant à le surveillé. Quelques minutes plus tard, j’entendis des bruits de pas. Sans aucun bruit, Blood-Lust se leva et se rendis à l’étage. Au même moment, la porte s’ouvrit et quatre individus encapuchonnés surgir de par la porte. La mystérieuse personne qui m’avait intrigué dans le bateau était parmi eux. Ils ne firent même pas attention à moi et se rendis directement dans la même direction que celle du sacrieur. Je décidai de monté voir ce qui se tramait la haut. Quand j’arrivai sur la dernière marche d’escalier, j’entendis une voie familière.
-« Le voilà, il est arrivé ! »
Je fus fort étonné de voir assis autour d’une table, Favette, Blood-Lust et trois autres personnes. Elle était des leur et me souriais tout en me faisait signe de venir m’assoir parmi eux.

alors alors alors...
Déjà il faut respecter le formulaire
De plus les couleurs on enlève et la narration c'est en italique!
Enfin pour ton texte la il faut déja voir chapitre par chapitre. Avant de t'attaquer au chapitre 2 commences par bien finir le 1 a savoir développer plus que ca.
De plus au début tu décrit le temple etc... Ca ferai un bon petit prologue en rajoutant pas mal d'élément.
Voilà revoit tout ca. Bonne chance..
En tout cas moi pour le moment c'est non.

J'ai jamais fais de RP et je veux juste aider ce Clan ^^' ... Donc désolé

J'ai édité ...

c'est pas trop grave mais au moins lit les règles avants..
Sinon n'oublie pas de développer.

C'est court, l'idée est sympa dans l'ensemble mais il y a pas mal erreurs de syntaxe qui auraient put être évité si tu t'étais relu attentivement. Le chapitre 1 est a développer aussi. Parle un peu plus de tes parents, donne plus information sur Kiilk en elle même.

Il y a des idées, mais c'est pas encore ça.
Premièrement, relis toi... un e bonne orthographe est à la portée de tous et une syntaxe d'assez bon niveau accessible.
En suite, ne te cantonne pas à l'univers du Jeu... fais-en plus! Dans la vie on mange, on dort, on as des émotions, on as des aspirations, des buts!
Il faut se dire que Dofus est un contexte et que tu y insère un être vivant. Les combats, les sorts... ils sont là... mais ce sont des accessoires, pas des axes majeurs d'une vie.

Je sais que tu es une personne bien, motivée et prête à aider... je te demande donc personnellement de faire cet effort supplémentaire.

Kiki... ahlala.. kiki...
Donc, je vais pas être méchant, tu sais que je t'aime, toussa²:

-Développe! mais pas trop, après c'est lourd.
Sinon j'aime bien le fond =)

Pour quelqu'un qui ne RP pas , je trouve tout de même l'histoire bien faite , y'a pas mal d'idées , il faut juste les développer , nous parler un peu plus de ton héros ...
J'aime bien moi.

Dans un RP, il ne faut jamais se limiter au monde actuel : le RP est avant tout présent pour faire vivre son personnage dans un monde, certes imaginaire, mais dans lequel il peut vivre comme nous, dans lequel il peut sentir la brise du vent sans farmer des monstres sans défense, l'élément eau est alors appelé la Chance, les sorts sont appelés des compétences élémentaires, les châtiments ne deviennent pas des châtiments eau mais des châtiments osés.

Cordialement,
Fatality-Xelo.

Background modifié ... j'ai essayé d'ajouter des détails ... A vous de juger.

C'est mieux, il y a beaucoup moins d'erreur de syntaxe et plus de plaisir à lire.
Ce n'est pas encore parfait, mais il y a beaucoup de progrès. ^^

Merci ... mon but principale n'es pas vraiment de faire du "RP" mais plutôt de venir en "aide" . Je suis pas un RPiste pur et dure , un peu de RP et voilà ^^' .

C'est bien mieux,
Surtout le chapitre 2 qui respecte parfaitement les principes de base d'un background.
Il reste un assez grand nombre de fautes ; une relecture s'impose. Mais avec deux ou trois retouches, je pense que ton background pourra être "officiellement" accepté comme acceptable. (et oui, je suis tordu^^)

Dès retouches à quel niveau ? Je vais essayé de voir pour les fautes

EDIT : Relecture effectuée , quelques retouches faite et des corrections !

Eh bien je pense que tu peut recevoir mon "sceau d'approbation" non?
Alé, je te l'offre... mais fais attention à ne pas perdre de vue l'importance du RolePlay.

Chapitre 3 magnifique!

Bon, faut que je m'attelle au mien de RP...

Merci pour ce chapitre Kiki, c'est trop bien, continue de parler de moi, j'aime :3

Chapitre IV publié !!!

Toujours aussi bien, j'attends la suite!

Eh bien!
Manifestement, tu t'améliore incroyablement vite! (autant ton premier chapitre avais quelques incohérences, autant celui-ci est super!).
Il reste quelques fautes d'accords, mais le style est bien et le contenu intriguant.